mardi 28 juillet 2009

Mesrine - part. 1 et 2






Ce matin dans Microfilm, Vincent Cassel se glisse dans la peau de l’un des plus grands malfrats de France, classé « ennemi public n° 1 » par la presse dans les années 70 : Jacques Mesrine.

Le long métrage qu’on vous présente aujourd’hui est composé de deux parties, donc deux films qui retracent la vie tumultueuse de ce braqueur en cavale qui réussit avec brio à échapper aux forces de l’ordre avec audace et malice.

Fils de commerçants aisés dans le tissu, c'est à Clichy-La-Garenne qu'il grandit et qu'il se met à fréquenter le quartier populaire de Pigalle à Paris. Ses parents ont pourtant des projets pour lui : ils souhaiteraient plus tard le voir intégrer l'école des hautes études commerciales. Mais il n'aime pas l'école.

Alors qu'il n'a que 19 ans, Jacques Mesrine s'engage dans la guerre d'Algérie. D'après ses proches, l'expérience de l'Algérie l'a profondément marqué (il aura été de nombreuses fois de «corvée de bois », c'est-à-dire engagé pour l'exécution finale des prisonniers).

Dès l’âge de 23 ans, il participe à de nombreux cambriolages. Le 4 novembre 1961, il se marie avec Maria de la Soledad qui lui donnera une fille. C'est à cette époque qu'il est arrêté et condamné pour la première fois à payer une amende pour port d'armes prohibé.

En janvier 1962, il est arrêté alors qu'il tentait de braquer le Crédit agricole. Il est condamné, pour la première fois, à 18 mois de prison en mars 1962 puis sera relâché en 1963. Il souhaite alors quitter la vie criminelle et trouve un emploi dans une entreprise d'architecture d'intérieur. Mais il perd son travail suite au chômage technique de celle-ci et redevient criminel.

En 1968 il fuit, avec sa maîtresse, au Canada où il continuera ses activités de gangster pendant quelques années. A nouveau condamné pour ses nombreux crimes, il est incarcéré dans une prison canadienne dont il parvient à s’évader accompagné d’un autre détenu devenu ami.

Il va ensuite revenir en France pour poursuivre ses activités illégales. Puis il sera à nouveau arrêté, il parviendra à s’évader du tribunal pendant l’audience et recommencera ainsi ses braquages et autres crimes.

Plusieurs fois interpellé, autant de fois évadé, l’intouchable Jacques Mesrine décède au volant de sa voiture en 1979 sous les balles des policiers déployés lors d’une vaste opération visant à capturer le criminel.

Cette fois-ci, Mesrine ne se relèvera plus…













L’histoire de cet ennemi public est magnifiquement bien retracée. L’ambiance des années 60-70 est très bien reconstituée, des voitures aux vêtements, jusqu’aux plus infimes détails comme les tasses à café, la vaisselle, les meubles et autres accessoires.

L’interprétation de Vincent Cassel est magistrale. Il nous présente un personnage sans scrupules, n’hésitant pas à appuyer sur la gâchette pour parvenir à ses fins. Mais parallèlement, Mesrine était empli d’humour, de légèreté et de gaieté. D’ailleurs, lorsqu’il se fait arrêter pour la énième fois, il accueille le commissaire avec un cigare aux lèvres et une bouteille de champagne, n’hésitant pas à plaisanter en s’adressant au commissaire : « Ca c’est une arrestation qui a de la gueule, tu ne trouves pas ? » lui dira-t-il avant de se faire passer les menottes.

N’oublions pas non plus la présence de Gérard Depardieu dans la première partie qui enfile la casquette du « mentor » de Mesrine.

Le rythme est très soutenu, en particulier dans le premier chapitre qui est, selon moi, le meilleur des deux.

La musique est ingénieuse puisqu’à tout moment on peut entendre, en arrière-plan, les tubes des années 60 et 70. Des titres que l’on reconnaît tout de suite puisqu’en fidèles auditeurs de Jura Première que nous sommes, on les connaît par cœur !

Pour en revenir au film en lui-même, il est important de souligner que certaines scènes sont franchement crues et violentes. Avis donc aux âmes sensibles, il vous faudra parfois détourner votre attention de votre petit écran si vous souhaitez échapper à la torture et aux exécutions sanglantes commises par Mesrine.

La conclusion vous est donnée par Fun Vidéo, votre spécialiste à Courrendlin qui vous dit ce qui suit :

Inspiré des deux autobiographies de Jacques MESRINE, le dyptique "MESRINE" se compose de deux films.
MESRINE est une plongée viscérale dans l'univers du banditisme parisien et élève le cinéma de gangsters français moderne, jusqu'alors peu crédible et bafouilleur, pour ne pas dire médiocre.
Rarement on aura vu dans un film de flingues tricolore l'intensité, le réalisme et la ferveur qui caractérisent les films de bandits.
Jacques MESRINE lui même une légende offre à son interprète Vincent CASSEL, son rôle le plus fort à ce jour. Une prestation d'anthologie couronnée d'un CESAR
vraiment pas volé.
En conclusion : MESRINE c'est du grand cinéma dur, pur et percutant.
Le réalisateur Jean-François RICHET prouve parfaitement que les français peuvent rivaliser avec les américains et produire autre chose que de la comédie.

mardi 21 juillet 2009

Pour Elle

Un couple et un jeune enfant déjeunent lorsque la police débarque dans l’appartement, menotte la femme et l’emmène en l’accusant de meurtre. Voilà comment démarre le film qu’on vous présente aujourd’hui, intitulé « Pour Elle ».
Après l’arrestation, quelques années passent, le petit Oscar grandit et avec son papa il rend régulièrement visite à sa maman, Lisa, toujours en prison.

Un nouveau procès a lieu mais hélas il n’y a aucun élément nouveau par rapport à l’audience précédente, les faits contre Lisa semblent convaincre le juge. On comprend alors qu’elle est accusée d’avoir tué sa patronne dans un parking à l’aide d’un extincteur suite à une dispute. L’agent d’entretien affirme l’avoir vue ce soir-là et des taches de sang sur ses vêtements prouvent également qu’elle est l’auteur du meurtre.

Mais elle n’est pas coupable, en réalité c’est une inconnue qui a assassiné la victime, une inconnue qui a percuté Lisa qui entrait dans le parking au même moment, laissant des taches de sang sur les vêtements de Lisa. Lorsqu’elle arrive à sa voiture, elle ramasse l’extincteur que la meurtrière a utilisé pour tuer sa victime et quitte les lieux, sans voir le corps inanimé de sa patronne.

Lorsqu’elle apprend qu’elle n’a aucune chance de sortir de prison, Lisa tente de se suicider. Son mari, Julien, est à bout, il comprend qu’il ne parviendra pas à faire libérer Lisa par voie légale. Il envisage donc un plan pour la faire évader et rencontre un ex-prisonnier, auteur d’un livre qui raconte sa vie en cavale. Il lui explique comment il a réussi à s’évader et ce qu’il a mis en place par la suite pour ne pas se faire pincer.

Pendant trois mois, Julien va élaborer un plan, étudier la prison sous tous ses angles, prendre des photos, tenter d’obtenir de faux papiers et mettre au point l’évasion de Lisa.

Les rencontres avec Lisa à la prison deviennent tendues, elle comprend qu’il se passe quelque chose d’anormal, que le comportement de Julien a changé, elle a des doutes mais il tente de la rassurer du mieux qu’il peut, sans pour autant lui parler de son projet.

Autre complication, Lisa va être transférée dans un hôpital pénitencier. Il ne lui reste donc que trois jours pour mettre son plan à exécution.

Ayant besoin d’argent, il braque un malfrat et dans la précipitation des coups de feu sont tirés, le type décède et la police s’en mêle. Alors que Julien est parvenu à rester parfaitement discret pendant plus de trois mois, il va maintenant devoir en plus fuir la police qui tente de le retrouver après qu’il ait été aperçu par un témoin.

Autant vous dire que du suspense il y en a et que jusqu’au dernier moment on ne sait pas si Lisa, Julien et le petit Oscar réussiront à quitter la France ou s’ils devront affronter la dure réalité judiciaire.



Une chose est sûre, c’est que ce long-métrage ne manque pas de rythme. Dès les premières minutes on est mis au parfum, l’action démarre et nous entraîne dans les différentes étapes, plus ou moins risquées, de tout ce qu’un homme est prêt à faire pour son épouse, accusée à tord.

En toute honnêteté, je dois vous avouer que j’ai souvent du mal à apprécier les thrillers français, je trouve d’habitude qu’ils cherchent à imiter les américains sans pour autant avoir les moyens ni le rodage qu’ont les cinéastes et acteurs hollywoodiens dans ce genre-là. Pourtant, le film « Pour Elle » a tout d’un grand. La mise en scène est impeccable, le jeu des acteurs également, la réalisation, tout est absolument parfait et pour la première fois, je trouve les français à la hauteur des américains en matière de thriller.

Les acteurs sont tout à fait convaincants, on adore voir la métamorphose d’un père de famille ordinaire, prof de français au lycée, qui devient un vrai criminel pour tenter de sauver sa femme de derrière les barreaux.

Bref, pas grand-chose à ajouter de plus en ce qui me concerne. Il s’agit d’un véritable bijou, d’une réussite totale !

La conclusion vous est donnée par Fun Vidéo, votre spécialiste à Courrendlin qui vous dit ce qui suit :

POUR ELLE est une bombe au sens propre. Un minuteur bien réglé qui sert comme un étau, petit à petit jusqu'à nous couper le souffle. Le rythme s'accélère avec la détresse des personnages.
On s'attache à ceux-ci et on plonge dans l'intrigue pour une douche froide.
Vincent LINDON est excellent en père aimant et mari convaincu de l'innocence de sa femme, interprétée avec justesse par Diane KRUGER.
En conclusion, POUR ELLE est un excellent thriller réaliste, noir et rythmé.
Voici à nouveau un très bon film français et ce n'est pas pour rien que les américains ont déjà acheté les droits pour en faire un remake avec Sean PENN et Charlize THERON.
C'est quand même une référence !!

samedi 18 juillet 2009

Australia

De l’aventure, de beaux paysages, du drame et de l’amour, voici ce qu’on vous propose ce matin au sommaire de Microfilm avec « Australia », un long-métrage qui réunit Nicole Kidman et Hugh Jackman, tous deux australiens.

Nous sommes à la fin des années 30. Lady Sarah Ashley, une aristocrate anglaise hautaine et renfermée, arrive au coeur des paysages sauvages du Nord de l'Australie pour y rejoindre son mari qui tente -sans succès- de vendre l'immense domaine qu'ils possèdent sur place : Faraway Downs.

C’est un "cow-boy" local un peu rustre connu sous le seul nom de "Drover" qui accueille Sarah pour la conduire à Faraway Downs. Le voyage est fort inconfortable pour une dame de son rang et elle restera plus d’une fois bouche bée face aux remarques peu galantes de Drover qui ne possède pas franchement le sens des convenances.

Arrivée à Faraway Downs, elle est confrontée à de tristes réalités : son mari a été assassiné et le domaine est au bord de la ruine. D’autre part, un employé du domaine, un certain Fletcher, prévoit de s’emparer de Faraway Downs. De mèche avec un puissant éleveur, il vole des bêtes du troupeau pour les faire passer dans le sien.

C’est grâce à un petit métisse, Nullah, qu’elle apprend la vérité et qu’elle décide de renvoyer Fletcher. Mais il n’a pas dit son dernier mot…

Pour sauver Faraway Downs, Sarah n'a pas d'autre choix que de s'allier à Drover et de parcourir avec lui des milliers de kilomètres à travers les terres aussi magnifiques qu'inhospitalières du pays afin de mener jusqu'à Darwin 1500 têtes de bétail.

Peu à peu transformée par la puissance et la beauté des paysages, touchée par la rencontre du jeune Nullah, Sarah découvre des sentiments qu'elle n'avait jamais éprouvés jusqu'alors. Droven se montre de plus en plus doux et attentionné, elle de moins en moins aristocrate et petit à petit l’amour naîtra entre ces deux personnages qu’à priori tout oppose.

Au terme de leur périple, la seconde guerre mondiale a rattrapé l'Australie, et la ville de Darwin doit désormais faire face aux bombardements japonais.

En plus de cela, Fletcher devient un puissant citoyen de Darwin, il continue à faire pression sur Sarah pour qu’elle lui vende le domaine. Il la menace et parvient même à faire enlever Nullah pour l’expédier sur une île où sont regroupés les enfants aborigènes.

Pour la première fois de sa vie, Sarah sait pour qui et pour quoi se battre, et est prête à tout pour sauver ce qui compte désormais pour elle.



Tout d’abord, il s’agit d’une belle histoire qui réunit tout ce qui est nécessaire pour faire d’un film un succès : de bons acteurs, un bon scénario, du rythme, des méchants et des gentils.

Néanmoins, ce film n’est pas une réussite à 100% et pour diverses raisons :

- le scénario, bien que rythmé, est un tantinet longuet et composé de deux aventures distinctes. Tout d’abord la grande épopée avec les 1'500 bêtes qu’il faut rapatrier à Darwin, bravant les pièges des méchants et les différentes embûches dont est parsemé le trajet. Et ensuite, deuxième histoire, celle de Sarah, Drover et Nullah, tout d’abord unis et heureux à Faraway Downs puis séparés par le travail de Drover, la guerre, le méchant Fletcher. C’est un goût personnel mais je préfère voir une histoire qui garde le même fil conducteur de bout en bout que deux histoires pour le prix d’une pendant près de 2h40.

- Ensuite, il y a les images de synthèse et les effets de lumière qui apportent un côté un peu kitsch à cette Australie pourtant si belle au naturel. En fait, cette façon de traiter l’image discrédite un peu le film, comme pour y donner un petit côté « Disney » dédramatisant. La scène d’attaque des japonais sur Darwin fait immanquablement penser à celle du film « Pearl Harbor » sans pour autant l’égaler. Dommage.

Des points négatifs qui auront malheureusement valu à Australia une critique très sévère de la part de la presse. Certains le définiront même comme « 2h35 de gavage d'oie romantico-exotique à tomber raide mort » mais nous, on n’ira pas si loin. Il ne s’agit pas d’un mauvais film, loin de là, mais plutôt d’un long-métrage dont on attendait beaucoup et qui, finalement, ne donne pas assez.

Fort heureusement, l’interprétation des acteurs est impeccable, en particulier le jeune métisse qui nous fait découvrir un personnage adorable, attachant et parfaitement crédible.

La conclusion vous est donnée par Fun Vidéo, votre spécialiste à Courrendlin qui vous dit ce qui suit :

AUSTRALIA est une histoire passionnante et touchante. Les paysages sont à couper le souffle, c'est splendide et grandiose.
Les acteurs sont performants. Excellente prestation de Nicole KIDMAN et Hugh JACKMAN, tous les deux australiens. C'est d'ailleurs pour cette raison que le réalisateur Baz LUHRMANN les a choisis.
Du début à la fin on ne s'ennuie pas une minute malgré la longueur du film, d’environ 2h et 40min.
Un vrai film d'aventure où l'on passe du rire aux larmes.
En conclusion : AUSTRALIA peut se vanter d'offrir aux spectateurs un moment de cinéma comme on en voit tous les 10 ans. Une oeuvre totale qui redonne au cinéma la qualité si puissante qu'on lui conférait et qu'on oublie de plus en plus : celle de faire rêver les yeux grands ouverts.

mardi 7 juillet 2009

Gran Torino

Clint Eastwood a encore frappé ! Et plutôt fort avec « Gran Torino », le long-métrage qu’on vous propose de découvrir ce matin dans Microfilm.

Walter Kowalski, interprété par Eastwood est un vieux grognon qui vit seul depuis le décès de sa femme dans une petite maison dans un quartier peuplé par les Hmong d’Asie du Sud-Est.

Walter n’est pas particulièrement doué en ce qui concerne les rapports humains et tout ce qu’il demande c’est qu’on le laisse tranquille.

Lorsqu’un gang tente d’enrôler Thao, le jeune voisin de Walter, les choses vont se compliquer. Thao refuse de les suivre, ils promettent de se venger et débarquent un jour devant la maison pour lui faire payer son refus. Alerté par les cris de l’altercation, Walter sort de chez lui, fusil en mains et menace de flinguer le chef du gang s’ils ne s’en vont pas tout de suite.

En remerciement, la famille de Thao apportera des fleurs et de la nourriture à Walter le lendemain. Embarrassé par toute cette attention, il est d’abord énervé puis finira par se laisser inviter à la maison par Sue, la sœur de Thao, et se lier d’amitié avec ses voisins Hmong.

Il va même prendre Thao sous son aile pour qu’il puisse apprendre à travailler et ainsi éviter de tomber dans la délinquance. Le jeune garçon se montre gentil et volontaire et tout semble se passer à merveille pendant quelques semaines. Grâce à l’aide de Walter, il trouvera même un petit job sur un chantier.

Malheureusement, le gang rôde toujours et un jour, lorsque Thao rentre du travail, les gros durs l’interceptent au détour d’une rue. Ils lui volent son matériel de chantier et le brûlent avec une cigarette.

Fou furieux, Walter décide alors de donner une bonne leçon au gang mais il ne se rend pas compte qu’il vient de déclarer une véritable guerre.

Pour arrêter cette escalade de violence il n’aura qu’une seule solution, faire justice lui-même… Mais comment conjuguer justice et bon exemple pour Thao ? Clint Eastwood a encore une fois trouvé la recette miracle… et ça marche !





Les premières 20min du film sont vraiment drôles, même si cette histoire n’est absolument pas une comédie.

Walter est harcelé par un prêtre de la paroisse qui a promis à sa défunte épouse de faire venir Walter à confesse. Mais Walter ne se montre pas franchement coopératif et n’hésite pas à envoyer paître le prêtre sans grande délicatesse. Et puis il passe aussi beaucoup de temps à grogner – au sens propre du terme – contre tout ce qui l’entoure. Ses enfants qui le prennent pour un vieillard, ses voisins chinois, ses petits-enfants mal élevés… Toujours avec le même son caverneux, il grogne en grimaçant. Et nous, on se marre !

Et puis quand la suite des événements se corse, on rentre complètement dans le film, on ne rit plus du tout et on découvre que ce personnage grognon est en réalité un dur au cœur tendre des plus attachants.

Le scénario est très « Eastwoodien ». Encore une fois, comme dans « Million Dollar Baby », l’acteur prend un jeune sous sa protection pour le faire grandir, le soutenir et le sortir de son quotidien misérable. C’est du déjà vu mais du moment que la recette fonctionne, pourquoi en changer ?

Quant aux acteurs, ils sont tous très doués, on s’en doute bien. Clint Eastwood a tendance à légèrement sur-jouer son personnage mais en même temps cela apporte une petite touche d’humour bien appréciable. Quant aux asiatiques qui interprètent Sue et Thao, ils sont tous deux très convaincants.

Bref, Gran Torino était un film très attendu qui ne risque pas de décevoir les amateurs du genre !


La conclusion vous est donnée par Fun Vidéo, votre spécialiste à Courrendlin, qui vous dit ce qui suit :

Quel plaisir de revoir à nouveau Clint EASTWOOD devant la caméra, d'autant plus que c’est devant SA caméra. Et oui quand on a du talent à revendre autant en faire profiter les autres.
Avec "GRAN TORINO" EASTWOOD nous offre encore un film bluffant et d'une richesse infinie tant dans la maîtrise d'une réalisation sobre mais toujours impeccable que dans la multitude des thèmes abordés.
Avec "GRAN TORINO" Clint EASTWOOD nous livre une oeuvre humaine magistrale et superbe. Quelle fin émouvante !!!!
Ce film est une véritable perle, un chef d'oeuvre !!!
CLINT tu es le meilleur et tu sais nous émouvoir à chaque fois. BRAVO !